L’Internationale Libérale a demandé aux partenaires de la Guinée du Mali et du Burkina Faso (trois pays dirigés par des militaires), notamment l’UA, l’UE et les Nations unies, à soutenir la CEDEAO dans ‘’ses efforts visant accentuer la pression sur les juntes pour qu’elles fassent recours au dialogue pour aplanir les divergences internes afin de favoriser un retour diligent et paisible à l’ordre constitutionnel”.
Dans une résolution ayant sanctionnée la 206ème session de son Comité Exécutif qui s’est tenue à Ottawa au Canada, l’Internationale Libérale a dénoncé la suspension des libertés fondamentales, les spoliations et le harcèlement judiciaire de leaders politiques et des acteurs de la société civile qui ont suivi les putschs ainsi que l’absence de perspectives claires quant à la durée des transitions” dans ces trois pays.
Face à cette situation, les dirigeants des trois pays ont été invités à restaurer les libertés fondamentales, notamment la liberté de réunion, d’association et de manifestation conformément aux engagements internationaux de leurs pays respectifs et les encourage à organiser dans les meilleurs délais des élections inclusives, libres et transparentes.
Par Guinee28