Ils étaient poursuivis pour complicité de provocation à un attroupement armé et de complicité de destruction de biens publics et privés.
Mais la justice a finalement estimé que le délit de provocation à un attroupement armé était non constitué et qu’ils ne pouvaient pas être condamnés pour destruction de biens publics et privés. Le juge a donc renvoyé le ministère public et l’agent judiciaire de l’État à mieux se pourvoir.
Arrêtés en juillet 2022, Ils ont passé près de 9 mois en détention préventive avant d’être libérés en mai dernier.
Par Guinee28